Belle histoire de Saint-Valentin
Philippe et Cécile Paradis présentent fièrement leur belle photo de mariage, prise il y a 57 ans devant l’église de Sainte-Adèle.
©TC Media –Isabelle Houle
Mme Paradis, née Cécile Aubuchon, travaillait à la quincaillerie de Mont-Rolland à l’époque. C’est là qu’elle a rencontré Philippe Paradis, bon travaillant, œuvrant notamment comme livreur d’huile à chauffage. Après leur mariage, les Paradis ont eu deux enfants, puis, trois petits-enfants et aujourd’hui, ils ont quatre arrière-petites-filles. « Elles nous apportent beaucoup de bonheur. Nous sommes très près d’elles et du reste de la famille, c’est important! » ont-ils confié.
Même s’ils aiment sortir, voir des gens et participer à une panoplie d’activités, ils gardent des moments précieux pour leur couple, même après autant d’années. « Longtemps, le vendredi soir était sacré. C’était notre soir de sortie. Aujourd’hui, on se crée plusieurs petits rendez-vous comme ça un peu partout durant la semaine. On aime aller manger ensemble, visiter la province, des petites choses comme ça, » poursuit Mme Paradis.
Amoureux de la vie
Ces amoureux croient que la formule gagnante pour faire durer une relation est simple : se créer de petits bonheurs quotidiens, laisser de l’espace à l’autre et se faire confiance. « Mon mari voit bien que je suis épanouie parce que je fais ce que j’aime, je sors, j’ai mon réseau et je m’implique bénévolement un peu partout. Si je restais toujours ici, on aurait sûrement plus de conflits, » ajoute-t-elle.
De son côté, M. Paradis l’avoue, sa femme l’épate! « Je ne peux même pas la suivre. Elle est si dévouée, autant pour les autres que pour moi! Je suis fier d’elle. »
Petits mots doux sur un papier, fous rires, voyages, promenades, discussions et moments en tête à tête, voilà ce qui fait sourire ce beau couple uni.
« C’est important de penser à ce qui ferait plaisir à l’autre. Ça va toujours dans les deux sens. On s’aide et on se respecte beaucoup, » affirme Mme Paradis.
Rappelons-le, Cécile Paradis fait partie des fondateurs de l’Entraide bénévole des Pays-d’en-Haut et a été honorée pour son travail et son implication. « Je n’aurais pas pu en faire autant sans mon mari. On se complète. »
En juin, ils souligneront leur 57e anniversaire de mariage. Fort possible que vous voyez le couple assis au Petit Poucet de Val-David durant ce mois spécial. « C’est une tradition pour nos anniversaires, on va presque toujours là! » conclut Mme Paradis.
DOSSIER. Si ce sont des Français qui ont colonisé le Québec, comment expliquer la différence d’accent entre les deux peuples aujourd’hui?
DOSSIER. Comment le Black Friday est-il devenu le Vendredi fou au Québec ? Pourquoi parle-t-on aujourd’hui de gaz de schiste au lieu des gaz de shale ? C’est l’Office québécois de la langue française qui est derrière tout ça.
On dit souvent que la beauté est dans l’œil de celui qui regarde. Suivant la même philosophie, on pourrait dire que l’accent est dans l’oreille de celui qui entend.
Métro s’est rendu dans la petite communauté abénakise d’Odanak, au Centre-du-Québec. Regards sur le seul établissement d’études supérieures du Québec où l’enseignement est axé sur les réalités autochtones… et sur des leaders conscients des défis à relever.
Les questions et commentaires des alloctones sur les réalités autochtones laissent transparaitre leur curiosité, mais surtout leur méconnaissance du sujet. Comment arriver à combler le fossé? Métro est allé à la rencontre de personnes qui travaillent à bâtir des ponts entre Québécois et Autochtones.
Le samedi 4 juin, la chorale Le Chœur des Jeunes de Saint-Sauveur ouvre la porte à la grande saison des Ça me dit concerts Rona Dagenais dès 15h sur la Scène McGarrigle, dans le parc Georges-Filion.
La Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) demande au public de rester vigilant dans les bois.
Belle histoire de Saint-Valentin
Philippe et Cécile Paradis présentent fièrement leur belle photo de mariage, prise il y a 57 ans devant l’église de Sainte-Adèle.
©TC Media –Isabelle Houle
Mme Paradis, née Cécile Aubuchon, travaillait à la quincaillerie de Mont-Rolland à l’époque. C’est là qu’elle a rencontré Philippe Paradis, bon travaillant, œuvrant notamment comme livreur d’huile à chauffage. Après leur mariage, les Paradis ont eu deux enfants, puis, trois petits-enfants et aujourd’hui, ils ont quatre arrière-petites-filles. « Elles nous apportent beaucoup de bonheur. Nous sommes très près d’elles et du reste de la famille, c’est important! » ont-ils confié.
Même s’ils aiment sortir, voir des gens et participer à une panoplie d’activités, ils gardent des moments précieux pour leur couple, même après autant d’années. « Longtemps, le vendredi soir était sacré. C’était notre soir de sortie. Aujourd’hui, on se crée plusieurs petits rendez-vous comme ça un peu partout durant la semaine. On aime aller manger ensemble, visiter la province, des petites choses comme ça, » poursuit Mme Paradis.
Amoureux de la vie
Ces amoureux croient que la formule gagnante pour faire durer une relation est simple : se créer de petits bonheurs quotidiens, laisser de l’espace à l’autre et se faire confiance. « Mon mari voit bien que je suis épanouie parce que je fais ce que j’aime, je sors, j’ai mon réseau et je m’implique bénévolement un peu partout. Si je restais toujours ici, on aurait sûrement plus de conflits, » ajoute-t-elle.
De son côté, M. Paradis l’avoue, sa femme l’épate! « Je ne peux même pas la suivre. Elle est si dévouée, autant pour les autres que pour moi! Je suis fier d’elle. »
Petits mots doux sur un papier, fous rires, voyages, promenades, discussions et moments en tête à tête, voilà ce qui fait sourire ce beau couple uni.
« C’est important de penser à ce qui ferait plaisir à l’autre. Ça va toujours dans les deux sens. On s’aide et on se respecte beaucoup, » affirme Mme Paradis.
Rappelons-le, Cécile Paradis fait partie des fondateurs de l’Entraide bénévole des Pays-d’en-Haut et a été honorée pour son travail et son implication. « Je n’aurais pas pu en faire autant sans mon mari. On se complète. »
En juin, ils souligneront leur 57e anniversaire de mariage. Fort possible que vous voyez le couple assis au Petit Poucet de Val-David durant ce mois spécial. « C’est une tradition pour nos anniversaires, on va presque toujours là! » conclut Mme Paradis.
