Jennifer Lawrence impressionne dans Joy
Le réalisateur new-yorkais David O. Russell est fidèle à un duo d’acteurs qu’il a aidé à mettre au monde. On parle ici de Bradley Cooper et Jennifer Lawrence, un duo très efficace.
Personne ne mettrait un jus de fruit dans le réservoir de sa voiture pour se rendre au travail. Mais, pour ce qui est de notre corps, la chose s’avère un peu plus complexe, car nous ne carburons pas à un seul ingrédient. De plus, plusieurs acteurs et facteurs présents dans notre environnement tentent, chacun à leur façon, d’influencer notre manière de consommer ou de carburer.
Marketing alimentaire
Bien que plusieurs d’entre nous sachent de quoi se compose une saine alimentation et connaissent l’importance de consommer des aliments frais et variés, de limiter sa consommation de restauration rapide et de manger au moins cinq portions de fruits et légumes par jour, combien y arrivent réellement?
La prévalence de la problématique du poids au Québec indique que nous sommes nombreux à ne pas respecter nos signaux de faim et de satiété, à manger des aliments trop sucrés, trop gras et trop salés et à nous laisser influencer par le marketing alimentaire présent dans notre environnement. L’émission L’Épicerie du 24 février, sonnait l’alarme et nous faisait prendre conscience de l’omniprésence et de l’influence du marketing alimentaire chez les tout-petits.
Par exemple, on y mentionnait que la filiale Star Wars avait amassé plus de profits avec les produits dérivés du film qu’avec ses recettes au box-office. Incroyable, mais vrai! Malheureusement, ce marketing alimentaire qui cible spécifiquement les enfants se retrouve principalement associé à des produits à forte teneur en sucre, en gras et en sel qui contribuent à l’épidémie actuelle d’obésité.
Une astuce pour y résister
À la suite du visionnement de ce segment d’émission, des parents, sur les réseaux sociaux, échangeaient des trucs et stratégies pour résister à la tentation et déjouer ces tactiques de l’industrie agroalimentaire. L’astuce la plus partagée consistait à dresser une liste en fonction des repas prévus pour la semaine avant de se rendre à l’épicerie et de la respecter une fois sur place.
Bien qu’il existe une Loi au Québec qui interdit la publicité destinée aux enfants, les emballages, les étiquettes et les présentoirs échappent à la Loi actuelle : c’est la raison pour laquelle les boîtes de céréales à l’effigie de la Reine des Neiges, des Minions ou autres personnages de Disney ne sont pas à la veille de disparaître des tablettes d’épiceries.
Toutefois, la Coalition Arrêtons la Pub Destinée aux Enfants a vu le jour le 24 février dernier. Vous pouvez, par le biais de leur site Internet, faire parvenir une lettre au gouvernement fédéral pour lui demander d’interdire les publicités d’aliments et de boissons destinées aux enfants. Voilà un truc simple et concret qui pourrait, à moyen terme, favoriser l’adoption de choix santé.
Émilie Dansereau-Trahan, chargée des dossiers Saines habitudes de vie à l'Association pour la santé publique du Québec
Le Salon de l’immobilier et de l’aménagement extérieur se déroule ce week-end à Sainte-Adèle à la Place des citoyens.
Mont Saint-Sauveur international (MSSI) déboursera près d’un million $ pour construire un parcours de mini-golf à proximité de ses glissades d’eau et de ses manèges. La station de ski poursuit ainsi son objectif de diversifier ses activités dans le domaine du loisir.
Personne ne mettrait un jus de fruit dans le réservoir de sa voiture pour se rendre au travail. Mais, pour ce qui est de notre corps, la chose s’avère un peu plus complexe, car nous ne carburons pas à un seul ingrédient. De plus, plusieurs acteurs et facteurs présents dans notre environnement tentent, chacun à leur façon, d’influencer notre manière de consommer ou de carburer.
Marketing alimentaire
Bien que plusieurs d’entre nous sachent de quoi se compose une saine alimentation et connaissent l’importance de consommer des aliments frais et variés, de limiter sa consommation de restauration rapide et de manger au moins cinq portions de fruits et légumes par jour, combien y arrivent réellement?
La prévalence de la problématique du poids au Québec indique que nous sommes nombreux à ne pas respecter nos signaux de faim et de satiété, à manger des aliments trop sucrés, trop gras et trop salés et à nous laisser influencer par le marketing alimentaire présent dans notre environnement. L’émission L’Épicerie du 24 février, sonnait l’alarme et nous faisait prendre conscience de l’omniprésence et de l’influence du marketing alimentaire chez les tout-petits.
Par exemple, on y mentionnait que la filiale Star Wars avait amassé plus de profits avec les produits dérivés du film qu’avec ses recettes au box-office. Incroyable, mais vrai! Malheureusement, ce marketing alimentaire qui cible spécifiquement les enfants se retrouve principalement associé à des produits à forte teneur en sucre, en gras et en sel qui contribuent à l’épidémie actuelle d’obésité.
Une astuce pour y résister
À la suite du visionnement de ce segment d’émission, des parents, sur les réseaux sociaux, échangeaient des trucs et stratégies pour résister à la tentation et déjouer ces tactiques de l’industrie agroalimentaire. L’astuce la plus partagée consistait à dresser une liste en fonction des repas prévus pour la semaine avant de se rendre à l’épicerie et de la respecter une fois sur place.
Bien qu’il existe une Loi au Québec qui interdit la publicité destinée aux enfants, les emballages, les étiquettes et les présentoirs échappent à la Loi actuelle : c’est la raison pour laquelle les boîtes de céréales à l’effigie de la Reine des Neiges, des Minions ou autres personnages de Disney ne sont pas à la veille de disparaître des tablettes d’épiceries.
Toutefois, la Coalition Arrêtons la Pub Destinée aux Enfants a vu le jour le 24 février dernier. Vous pouvez, par le biais de leur site Internet, faire parvenir une lettre au gouvernement fédéral pour lui demander d’interdire les publicités d’aliments et de boissons destinées aux enfants. Voilà un truc simple et concret qui pourrait, à moyen terme, favoriser l’adoption de choix santé.
Émilie Dansereau-Trahan, chargée des dossiers Saines habitudes de vie à l'Association pour la santé publique du Québec