Des parents veulent une école alternative
Des parents de la MRC des Pays-d'en-Haut souhaitent que la Commission scolaire des Laurentides (CSL) mette sur pied une école primaire alternative publique dans leur secteur.
Confidences d’un passionné
Pierre Grignon, détenteur des droits d’auteur de Claude-Henri Grignon, garde de précieux souvenirs du travail de son parrain.
©TC Media – Isabelle Houle
Pierre Grignon, jeune étudiant, en compagnie de son célèbre parrain, Claude-Henri Grignon.
©gracieuseté
« C’est tellement important pour moi! Claude-Henri était mon parrain. Il était très fier et attaché à sa famille. Il n’a pas eu d’enfants biologiques, mais s’est fait une famille et nous a assuré un bel avenir. Il m’a permis d’étudier et de faire du sport, » raconte Pierre Grignon qui a vécu avec son parrain à Sainte-Adèle.
Aujourd’hui, de nouvelles générations découvrent un peu Sainte-Adèle et son histoire via la populaire série diffusée à Radio-Canada, Les Pays d’en haut. « Quand j’ai pris connaissance du scénario, je voulais vérifier l’attachement des producteurs à Claude-Henri Grignon, j’ai participé aux discussions et je suis très content du résultat ! »
Bel héritage
Fondateur du Journal des Pays-d’en-Haut avec Maurice Aveline en 1967, Claude-Henri Grignon tenait à ce que son entourage ne manque de rien et ait accès à l’instruction. « Je le suivais sur les lieux de tournage, je prenais des photos des comédiens des Belles Histoires des Pays d’en haut. C’était ma vie ! Je suis émerveillé de voir que la série actuelle n’est pas loin de l’œuvre originale ! » poursuit Pierre Grignon.
Encore aujourd’hui, de nombreux visiteurs se présentent à la halte routière de la Porte-du-Nord, chez Tourisme Laurentides pour visiter le village de Séraphin ou connaître l’histoire des Pays d’en haut. Pourtant, le village de Séraphin a fermé ses portes il y a de nombreuses années. « Des gens viennent jusque chez moi pour en savoir plus. Je les déçois souvent en leur disant que le village n’existe plus et que Séraphin n’a jamais vraiment existé. » Conclut M. Grignon, qui se fait toujours un plaisir de raconter l’histoire de Claude-Henri et de son œuvre.
Un incendie a détruit la résidence du 156 Godefroy à Sainte-Anne-des-Lacs hier (1er juillet) soir vers 20h.
Une personne est dans un état critique après un capotage sur l'Autoroute 15 Sud à Sainte-Adèle hier ( 1er juillet) vers 23h.
Confidences d’un passionné
Pierre Grignon, détenteur des droits d’auteur de Claude-Henri Grignon, garde de précieux souvenirs du travail de son parrain.
©TC Media – Isabelle Houle
Pierre Grignon, jeune étudiant, en compagnie de son célèbre parrain, Claude-Henri Grignon.
©gracieuseté
« C’est tellement important pour moi! Claude-Henri était mon parrain. Il était très fier et attaché à sa famille. Il n’a pas eu d’enfants biologiques, mais s’est fait une famille et nous a assuré un bel avenir. Il m’a permis d’étudier et de faire du sport, » raconte Pierre Grignon qui a vécu avec son parrain à Sainte-Adèle.
Aujourd’hui, de nouvelles générations découvrent un peu Sainte-Adèle et son histoire via la populaire série diffusée à Radio-Canada, Les Pays d’en haut. « Quand j’ai pris connaissance du scénario, je voulais vérifier l’attachement des producteurs à Claude-Henri Grignon, j’ai participé aux discussions et je suis très content du résultat ! »
Bel héritage
Fondateur du Journal des Pays-d’en-Haut avec Maurice Aveline en 1967, Claude-Henri Grignon tenait à ce que son entourage ne manque de rien et ait accès à l’instruction. « Je le suivais sur les lieux de tournage, je prenais des photos des comédiens des Belles Histoires des Pays d’en haut. C’était ma vie ! Je suis émerveillé de voir que la série actuelle n’est pas loin de l’œuvre originale ! » poursuit Pierre Grignon.
Encore aujourd’hui, de nombreux visiteurs se présentent à la halte routière de la Porte-du-Nord, chez Tourisme Laurentides pour visiter le village de Séraphin ou connaître l’histoire des Pays d’en haut. Pourtant, le village de Séraphin a fermé ses portes il y a de nombreuses années. « Des gens viennent jusque chez moi pour en savoir plus. Je les déçois souvent en leur disant que le village n’existe plus et que Séraphin n’a jamais vraiment existé. » Conclut M. Grignon, qui se fait toujours un plaisir de raconter l’histoire de Claude-Henri et de son œuvre.