Le guide d’accueil touristique fraîchement imprimé
Plusieurs partenaires régionaux de l’industrie touristique ont présenté la nouvelle édition du Guide d’accueil Plaisir des sens le 18 mai en matinée au Saint-Sau Pub Gourmand à Saint-Sauveur.
Le conseiller Roch Bédard agissait en tant que maire suppléant puisque le maire Réjean Charbonneau a été hospitalisé après avoir ressenti un malaise.
©TC Media - Eric Nicol
Le conseiller Bédard, qui présidait l’assemblée en l’absence du maire Réjean Charbonneau, hospitalisé en raison d’un malaise, a pris plusieurs minutes pour faire valoir son point de vue. Il a reconnu que les citoyens avaient le droit de le questionner sur son implication auprès de l’entreprise de M. Maalouf mais qu’il était inapproprié de demander sa démission.
Sans le nommer directement, il a reproché au citoyen Jean-Pierre Létourneau d’avoir demandé sa démission après avoir posé des questions lors de la séance du conseil en avril. « Je ne donnerai pas suite à ces demandes », a ajouté le conseiller.
Il a par la suite rappelé que son implication au sein de La Rolland remontait à 2009 et qu’à cette époque, les finances de la Corporation d’affaires qui gérait le site, étaient en mauvais état. Il affirme avoir réussi à diminuer le déficit de la Corporation en diminuant les charges d’exploitation qui dépassaient les 600 000 $ à un montant de 285 000 $ et à faire augmenter les revenus locatifs de 400 000 $. La dette de l’organisme a tout de même atteint 5 millions $, ce qui a convaincu les administrateurs de la Corporation de mettre les actifs en vente. « Ne vous en faites pas, ça ne m’a rien donné de plus que le petit salaire de 29 000 $ par année que j’étais payé par la Coporation du parc d’affaires La Rolland », a-t-il ajouté. Le conseiller Bédard a plus tard ajouté que son mandat avec l’entreprise de Joseph Maalouf était terminé « conformément à l’entente initiale. »
Pierre Morabito s’explique
Par ailleurs, le conseiller Pierre Morabito a tenu à faire comprendre que sa prise de position publique de la semaine dernière dans laquelle il affirmait ne pas être d’accord avec lesdits mandats de Roch Bédard, ne signifie pas qu’il deviendra dissident au sein du conseil de ville. Il affirme avoir toujours voulu convaincre les autres membres du conseil de pencher dans le même sens que lui, mais qu’en bout de ligne, il se rallie presque toujours aux décisions de la majorité. « J’ai toujours fonctionné de cette façon et je continuerai à le faire, a-t-il mentionné. Les séances du conseil ne deviendront pas une foire d’empoigne. »
De plus, il affirme que la dissolution du Parti Vision Citoyens n’a aucun lien avec la polémique entourant le conseiller Bédard.
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Le conseiller Roch Bédard agissait en tant que maire suppléant puisque le maire Réjean Charbonneau a été hospitalisé après avoir ressenti un malaise.
©TC Media - Eric Nicol
Le conseiller Bédard, qui présidait l’assemblée en l’absence du maire Réjean Charbonneau, hospitalisé en raison d’un malaise, a pris plusieurs minutes pour faire valoir son point de vue. Il a reconnu que les citoyens avaient le droit de le questionner sur son implication auprès de l’entreprise de M. Maalouf mais qu’il était inapproprié de demander sa démission.
Sans le nommer directement, il a reproché au citoyen Jean-Pierre Létourneau d’avoir demandé sa démission après avoir posé des questions lors de la séance du conseil en avril. « Je ne donnerai pas suite à ces demandes », a ajouté le conseiller.
Il a par la suite rappelé que son implication au sein de La Rolland remontait à 2009 et qu’à cette époque, les finances de la Corporation d’affaires qui gérait le site, étaient en mauvais état. Il affirme avoir réussi à diminuer le déficit de la Corporation en diminuant les charges d’exploitation qui dépassaient les 600 000 $ à un montant de 285 000 $ et à faire augmenter les revenus locatifs de 400 000 $. La dette de l’organisme a tout de même atteint 5 millions $, ce qui a convaincu les administrateurs de la Corporation de mettre les actifs en vente. « Ne vous en faites pas, ça ne m’a rien donné de plus que le petit salaire de 29 000 $ par année que j’étais payé par la Coporation du parc d’affaires La Rolland », a-t-il ajouté. Le conseiller Bédard a plus tard ajouté que son mandat avec l’entreprise de Joseph Maalouf était terminé « conformément à l’entente initiale. »
Pierre Morabito s’explique
Par ailleurs, le conseiller Pierre Morabito a tenu à faire comprendre que sa prise de position publique de la semaine dernière dans laquelle il affirmait ne pas être d’accord avec lesdits mandats de Roch Bédard, ne signifie pas qu’il deviendra dissident au sein du conseil de ville. Il affirme avoir toujours voulu convaincre les autres membres du conseil de pencher dans le même sens que lui, mais qu’en bout de ligne, il se rallie presque toujours aux décisions de la majorité. « J’ai toujours fonctionné de cette façon et je continuerai à le faire, a-t-il mentionné. Les séances du conseil ne deviendront pas une foire d’empoigne. »
De plus, il affirme que la dissolution du Parti Vision Citoyens n’a aucun lien avec la polémique entourant le conseiller Bédard.