Voyage dans le temps pour la sclérose en plaques
L’année 2016 marque le 40e anniversaire des Entreprises Claude Rodrigue de Saint-Sauveur et celui de la Société canadienne de la sclérose en plaques section Laurentides.
Il retourne à l'urgence
Une partie de l'équipe du Dr Simon-Pierre Landry: dans l'ordre habituel Maurice Morin, président de l'Association du NPD dans Laurentides-Labelle, Gabriel Dagenais, directeur des communications de la campagne, Samuel Dalpé, responsable du Jour J, Laurence Dufresne-Aubertin, gérante de campagne, M. Landry et Michel Noël de Tilly, agent officiel du candidat du NPD dans le comté.
©TC Media - René-Pierre Beaudry
« Simon-Pierre ne s'est lancé en politique active qu'il y a six mois. Il a travaillé si fort. Je suis fière de lui. (En dépit de la défaite), je suis convaincue que c'est pour lui le début d'une belle aventure », nous a confié Vanessa Blais-Tremblay, la conjointe enceinte de cinq mois du candidat néo-démocrate défait.
« Nous sommes déçus, c'est certain », a quant à lui répondu un Simon-Pierre Landry visiblement surpris par la vague rouge qui vient de balayer le pays. « Je suis par contre très fier de mon équipe qui a travaillé jusqu'à la fin. On a mené une belle campagne, professionnelle, honnête, propre et respectueuse de nos adversaires. C'est l'équipe que je veux autour de moi pour longtemps. »
Gentilhomme, le Dr Landry a du même souffle félicité le candidat libéral élu David Graham. « Je vais l'appuyer durant les quatre prochaines années », a-t-il ajouté. « Je suis citoyen de Laurentides-Labelle et il (M. Graham) est dorénavant mon député. »
Vanessa Blais-Tremblay, conjointe du candidat défait
Et maintenant?
Simon-Pierre Landry a avoué qu'il n'avait jamais envisagé un tel scénario, du moins dans Laurentides-Labelle. « Je suis vraiment surpris du résultat. Il y avait beaucoup d'indécis et je crois qu'ils ont voté en fonction du moins pire choix. Je respecte cela. La démocratie a parlé… Tous les adversaires dans notre comté se sont respectés et ont joué franc-jeu pendant toute la campagne. Il faut le souligner… Je crois aux idées sociales-démocrates de Thomas Mulcair. Son message n'a pas été perçu comme il le méritait. Je persiste à croire que le programme du NPD est le meilleur pour faire avancer la société. Ce sont ces idées pour lesquelles je souhaite continuer à militer et à expliquer aux gens afin que la social-démocratie poursuive son chemin. »
Sur le plan professionnel, le docteur Simon-Pierre Landry continuera de travailler à l'urgence de l'hôpital Laurentien à Sainte-Agathe-des-Monts ainsi qu'à celui de Rivière-Rouge. « Je vais tenter de réintégrer l'équipe des soins intensifs de laquelle j'avais démissionné pour me lancer en campagne électorale », a-t-il expliqué. « Le Dr Branden Munn (le médecin que le Dr Landry avait lui-même recruté à l'extérieur du Québec pour le remplacer NDLR) continuera de travailler aux soins intensifs. Quant à moi, je ne pourrai rejoindre les rangs de cette équipe que lorsqu'un poste sera ouvert à la suite d'un départ d'un de ses membres… Je vais entre-temps continuer de militer pour un système de santé qui fonctionne mieux. »
Une quarantaine de jeunes suivis en protection de la jeunesse au Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides, ont participé à la randonnée à vélo Une Route sans fin 2016.
MÉTÉO. Les conditions sont propices à la formation d'orages violents pouvant produire des rafales fortes, de la grêle de grosse taille et de la pluie forte prévient Environnement Canada.
Il retourne à l'urgence
Une partie de l'équipe du Dr Simon-Pierre Landry: dans l'ordre habituel Maurice Morin, président de l'Association du NPD dans Laurentides-Labelle, Gabriel Dagenais, directeur des communications de la campagne, Samuel Dalpé, responsable du Jour J, Laurence Dufresne-Aubertin, gérante de campagne, M. Landry et Michel Noël de Tilly, agent officiel du candidat du NPD dans le comté.
©TC Media - René-Pierre Beaudry
« Simon-Pierre ne s'est lancé en politique active qu'il y a six mois. Il a travaillé si fort. Je suis fière de lui. (En dépit de la défaite), je suis convaincue que c'est pour lui le début d'une belle aventure », nous a confié Vanessa Blais-Tremblay, la conjointe enceinte de cinq mois du candidat néo-démocrate défait.
« Nous sommes déçus, c'est certain », a quant à lui répondu un Simon-Pierre Landry visiblement surpris par la vague rouge qui vient de balayer le pays. « Je suis par contre très fier de mon équipe qui a travaillé jusqu'à la fin. On a mené une belle campagne, professionnelle, honnête, propre et respectueuse de nos adversaires. C'est l'équipe que je veux autour de moi pour longtemps. »
Gentilhomme, le Dr Landry a du même souffle félicité le candidat libéral élu David Graham. « Je vais l'appuyer durant les quatre prochaines années », a-t-il ajouté. « Je suis citoyen de Laurentides-Labelle et il (M. Graham) est dorénavant mon député. »
Vanessa Blais-Tremblay, conjointe du candidat défait
Et maintenant?
Simon-Pierre Landry a avoué qu'il n'avait jamais envisagé un tel scénario, du moins dans Laurentides-Labelle. « Je suis vraiment surpris du résultat. Il y avait beaucoup d'indécis et je crois qu'ils ont voté en fonction du moins pire choix. Je respecte cela. La démocratie a parlé… Tous les adversaires dans notre comté se sont respectés et ont joué franc-jeu pendant toute la campagne. Il faut le souligner… Je crois aux idées sociales-démocrates de Thomas Mulcair. Son message n'a pas été perçu comme il le méritait. Je persiste à croire que le programme du NPD est le meilleur pour faire avancer la société. Ce sont ces idées pour lesquelles je souhaite continuer à militer et à expliquer aux gens afin que la social-démocratie poursuive son chemin. »
Sur le plan professionnel, le docteur Simon-Pierre Landry continuera de travailler à l'urgence de l'hôpital Laurentien à Sainte-Agathe-des-Monts ainsi qu'à celui de Rivière-Rouge. « Je vais tenter de réintégrer l'équipe des soins intensifs de laquelle j'avais démissionné pour me lancer en campagne électorale », a-t-il expliqué. « Le Dr Branden Munn (le médecin que le Dr Landry avait lui-même recruté à l'extérieur du Québec pour le remplacer NDLR) continuera de travailler aux soins intensifs. Quant à moi, je ne pourrai rejoindre les rangs de cette équipe que lorsqu'un poste sera ouvert à la suite d'un départ d'un de ses membres… Je vais entre-temps continuer de militer pour un système de santé qui fonctionne mieux. »