OPTILAB: près de 20 000 signatures déposées contre le projet
Plus que jamais, un moratoire s'impose concernant le projet OPTILAB.
Des clôtures ont été installées à la base des pylônes pour dissuader les étudiants de l'école Augustin-Norbert-Morin d'y grimper comme certains l'ont fait en début de semaine.
L’incident a été mis au jour par un autre élève qui a filmé la scène et qui a tenu à dénoncer ces gestes auprès de sa mère. Dans la vidéo, l’étudiant avertit les grimpeurs qu’ils « vont mourir » s’ils continuent. La vidéo a été mise en ligne sur YouTube le 20 septembre. Il va sans dire que les adolescents qui ont grimpé dans la structure auraient pu être électrocutés à mort ou encore faire une chute fatale.
L’école Augustin-Norbert-Morin et Hydro-Québec ont été rapidement mis au courant de la chose et ont mis en place des mesures dès le lendemain. « Un directeur adjoint de l’école a rencontré tous les groupes du 1er cycle pour leur expliquer qu’il était très dangereux de grimper dans les pylônes », a relaté Stéphanie Fournelle-Maurice, coordonnatrice à la Commission scolaire des Laurentides (CSL).
Du côté d’Hydro-Québec, des employés étaient aux abords des pylônes mercredi matin. Ces structures sont situées en dehors du terrain de l’école. « Des monteurs de ligne étaient sur place pour dissuader les jeunes de recommencer et pour leur expliquer que grimper dans un pylône est un comportement plus que téméraire », affirme la conseillère en relations avec le milieu pour Hydro-Québec, Sophie Lamoureux.
Des clôtures
Par la suite, une lettre conjointe a été écrite par Hydro-Québec et la CSL pour expliquer aux parents la situation et pour les inciter à discuter des dangers d’une telle activité et des risques associés aux installations électriques.
Des clôtures ont aussi été installées autour des deux pylônes pour dissuader les jeunes de s’y rendre. Selon Sophie Lamoureux, Hydro-Québec restreint par des clôtures l’accès à ses postes de distribution, mais pas à ses pylônes.
Encore vendredi, des rencontres étaient prévues dans tous les groupes de l’école. Des gens de la direction de l’école et des représentants d’Hydro-Québec devaient rencontrer tous les élèves pour livrer un message clair. « Notre priorité est que ça ne se reproduise pas, a ajouté Mme Lamoureux. Nous tenons d’ailleurs à saluer le courage du jeune qui a fait part de la situation à sa mère. Il a posé le bon geste. »
Des conséquences pour les grimpeurs?
Par ailleurs, les étudiants qui ont grimpé pourraient faire face à des conséquences. Stéphanie Fournelle-Maurice affirme que le policier scolaire associé à l’école a ouvert une enquête en lien avec l’incident. Elle ne peut toutefois pas présumer des résultats de cette enquête.
Des clôtures ont été installées à la base des pylônes pour dissuader les étudiants de l'école Augustin-Norbert-Morin d'y grimper comme certains l'ont fait en début de semaine.
L’incident a été mis au jour par un autre élève qui a filmé la scène et qui a tenu à dénoncer ces gestes auprès de sa mère. Dans la vidéo, l’étudiant avertit les grimpeurs qu’ils « vont mourir » s’ils continuent. La vidéo a été mise en ligne sur YouTube le 20 septembre. Il va sans dire que les adolescents qui ont grimpé dans la structure auraient pu être électrocutés à mort ou encore faire une chute fatale.
L’école Augustin-Norbert-Morin et Hydro-Québec ont été rapidement mis au courant de la chose et ont mis en place des mesures dès le lendemain. « Un directeur adjoint de l’école a rencontré tous les groupes du 1er cycle pour leur expliquer qu’il était très dangereux de grimper dans les pylônes », a relaté Stéphanie Fournelle-Maurice, coordonnatrice à la Commission scolaire des Laurentides (CSL).
Du côté d’Hydro-Québec, des employés étaient aux abords des pylônes mercredi matin. Ces structures sont situées en dehors du terrain de l’école. « Des monteurs de ligne étaient sur place pour dissuader les jeunes de recommencer et pour leur expliquer que grimper dans un pylône est un comportement plus que téméraire », affirme la conseillère en relations avec le milieu pour Hydro-Québec, Sophie Lamoureux.
Des clôtures
Par la suite, une lettre conjointe a été écrite par Hydro-Québec et la CSL pour expliquer aux parents la situation et pour les inciter à discuter des dangers d’une telle activité et des risques associés aux installations électriques.
Des clôtures ont aussi été installées autour des deux pylônes pour dissuader les jeunes de s’y rendre. Selon Sophie Lamoureux, Hydro-Québec restreint par des clôtures l’accès à ses postes de distribution, mais pas à ses pylônes.
Encore vendredi, des rencontres étaient prévues dans tous les groupes de l’école. Des gens de la direction de l’école et des représentants d’Hydro-Québec devaient rencontrer tous les élèves pour livrer un message clair. « Notre priorité est que ça ne se reproduise pas, a ajouté Mme Lamoureux. Nous tenons d’ailleurs à saluer le courage du jeune qui a fait part de la situation à sa mère. Il a posé le bon geste. »
Des conséquences pour les grimpeurs?
Par ailleurs, les étudiants qui ont grimpé pourraient faire face à des conséquences. Stéphanie Fournelle-Maurice affirme que le policier scolaire associé à l’école a ouvert une enquête en lien avec l’incident. Elle ne peut toutefois pas présumer des résultats de cette enquête.