La fête à Saint-Sauveur avec Cherry Chérie
Un autre week-end bien rempli attend les visiteurs de Saint-Sauveur les 26, 27 et 28 août prochain dans le cadre de la Série Ça me dit Concerts Rona Dagenais.
Rufus Wainwright sera de passage à Saint-Sauveur fin juillet.
©SEAN JAMES
«C’est agréable pour la famille McGarrigle d’être honorée dans leur ville natale, un endroit qui a beaucoup inspiré notre famille», affirme Rufus Wainwright.
Rufus a un sentiment d’appartenance profond envers Saint-Sauveur, que la branche maternelle de sa famille habite depuis près de 75 ans. Il revient régulièrement à la source encore aujourd’hui.
«J’aime sortir à La Bohème, dont les propriétaires sont des amis de la famille depuis longtemps, faire du ski, ou simplement marcher dans le village et visiter le cimetière où repose ma mère», raconte-t-il.
Voyager dans le temps
Il se souvient qu’enfant, il s’amusait à revêtir les habits de mariage de ses grands-parents avec sa sœur. Ils traversaient ensuite le village ainsi déguisés, en faisant semblant d’avoir voyagé dans le temps.
C’est un peu ce qu’il fait encore quand il vient ici, voyager dans le passé, se rapprocher de ses racines, de sa célèbre mère, Kate McGarrigle, qui a été une grande influence dans sa vie.
«Ma sensibilité, mon côté romantique, me viennent de ma mère. Elle avait un génie musical qui m’a profondément influencé. C’était une grande dame, elle a influencé tout le monde qui l’a connue», confie-t-il avec beaucoup de fierté.
La musique dans le sang
Ce don pour la musique, qu’avait sa mère et son père, le chanteur folk London Wainwright, Rufus le possède indéniablement. Il a écrit sa première chanson, Dancing lady, alors qu’il était enfant. Il avoue ne pas encore comprendre aujourd’hui tous les secrets de la composition.
«C’est une sorte de transe. Il n’y a pas de formule, c’est différent d’une fois à l’autre. Parfois la musique vient en premier, parfois les mots, c’est un réel mystère», affirme-t-il.
La création fait partie de son rituel avant un spectacle. Comme il écrit constamment des chansons, il en profite pour les travailler avant d’entrer sur scène. Il joue en boucle une mélodie et chante sur celle-ci, pour l’explorer et réchauffer sa voix, mais aussi, pour oublier où il se trouve. Belle façon d’éviter le trac.
Partager son univers pour une soirée
Si on demande à Rufus de choisir entre composer ou jouer sur scène, il répond sans hésitation que la composition a la première place. Évidemment, le spectacle n’est pas loin derrière, puisque les deux sont complémentaires dans sa vie.
Celui qu’il présentera en pré-ouverture du FASS le 29 juillet se veut un moment d’intimité avec lui. On l’entendra au piano, son instrument favori, à la guitare, et peut-être même au banjo si l’inspiration y est.
«Je vais certainement inviter ma famille à me rejoindre sur scène», ajoute-t-il joyeusement. Une belle réunion en l’honneur de la famille McGarrigle. Kate y sera certainement à sa manière, à travers l’amour que les siens lui portent pour toujours.
Rufus Wainwright
Rufus Wainwright sera de passage à Saint-Sauveur fin juillet.
©SEAN JAMES
«C’est agréable pour la famille McGarrigle d’être honorée dans leur ville natale, un endroit qui a beaucoup inspiré notre famille», affirme Rufus Wainwright.
Rufus a un sentiment d’appartenance profond envers Saint-Sauveur, que la branche maternelle de sa famille habite depuis près de 75 ans. Il revient régulièrement à la source encore aujourd’hui.
«J’aime sortir à La Bohème, dont les propriétaires sont des amis de la famille depuis longtemps, faire du ski, ou simplement marcher dans le village et visiter le cimetière où repose ma mère», raconte-t-il.
Voyager dans le temps
Il se souvient qu’enfant, il s’amusait à revêtir les habits de mariage de ses grands-parents avec sa sœur. Ils traversaient ensuite le village ainsi déguisés, en faisant semblant d’avoir voyagé dans le temps.
C’est un peu ce qu’il fait encore quand il vient ici, voyager dans le passé, se rapprocher de ses racines, de sa célèbre mère, Kate McGarrigle, qui a été une grande influence dans sa vie.
«Ma sensibilité, mon côté romantique, me viennent de ma mère. Elle avait un génie musical qui m’a profondément influencé. C’était une grande dame, elle a influencé tout le monde qui l’a connue», confie-t-il avec beaucoup de fierté.
La musique dans le sang
Ce don pour la musique, qu’avait sa mère et son père, le chanteur folk London Wainwright, Rufus le possède indéniablement. Il a écrit sa première chanson, Dancing lady, alors qu’il était enfant. Il avoue ne pas encore comprendre aujourd’hui tous les secrets de la composition.
«C’est une sorte de transe. Il n’y a pas de formule, c’est différent d’une fois à l’autre. Parfois la musique vient en premier, parfois les mots, c’est un réel mystère», affirme-t-il.
La création fait partie de son rituel avant un spectacle. Comme il écrit constamment des chansons, il en profite pour les travailler avant d’entrer sur scène. Il joue en boucle une mélodie et chante sur celle-ci, pour l’explorer et réchauffer sa voix, mais aussi, pour oublier où il se trouve. Belle façon d’éviter le trac.
Partager son univers pour une soirée
Si on demande à Rufus de choisir entre composer ou jouer sur scène, il répond sans hésitation que la composition a la première place. Évidemment, le spectacle n’est pas loin derrière, puisque les deux sont complémentaires dans sa vie.
Celui qu’il présentera en pré-ouverture du FASS le 29 juillet se veut un moment d’intimité avec lui. On l’entendra au piano, son instrument favori, à la guitare, et peut-être même au banjo si l’inspiration y est.
«Je vais certainement inviter ma famille à me rejoindre sur scène», ajoute-t-il joyeusement. Une belle réunion en l’honneur de la famille McGarrigle. Kate y sera certainement à sa manière, à travers l’amour que les siens lui portent pour toujours.
Rufus Wainwright